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Le Chœur, mis en confiance après le concert de Malestroit, a poursuivi ses Estivales d’abord dans l’abbatiale de Saint Gildas de Rhuys, puis dans l’église rénovée de Saint-Pierre -Quiberon.

 

Par rapport aux « Mardis de Saint-Gilles », il y a eu quelques nouveautés. Pascal, accompagné d’un petit chœur, a fait découvrir au public sa voix de basse dans l’interprétation d’un Isis et Osiris extrait de la Flûte enchantée ». A l’autre bout du spectre musical, c’est Cathy, notre soliste de cœur, qui s’est promenée à l’aise dans les notes les plus hautes de la Virgine del Angeli, puis duo avec Pierre dans un prenant Miserere venu du Trouvere.

 

Adrian, lors de chacun des concerts, a une nouvelle fois transformé les fidèles en afficionados des arènes avec un Toréador à damner Carmen. Pierre a interprété « les pêcheurs de perles » au milieu d’un silence absolu chargé d’émotions.

 

Le Chœur, désormais plus sûr de lui dans son nouveau répertoire, a pu aborder avec nuances et conviction tant le difficile Cantate Domino de Sandor Balatoni que le Dies Irae étonnant et humoristique de Ruth Morris Gray.

 

A Saint-Pierre, le dernier morceau a eu un éclat très spécial : Paolina, la nièce de de notre chef de chœur, venue de Pologne a su trouver un violon qui a merveilleusement accompagné le Pacem de Dengler. Ce sont ces instants que les auditeurs ont voulu revivre dans un ultime bis dont le souvenir les a accompagné.

 

Tout au long des concerts, le public est resté en communion de plus en plus enthousiaste, jusqu’à des finaux éclatants d’applaudissement.

 

A Saint Gildas, notre hôte représentant de l’équipe paroissiale a réuni tous les solistes pour un hommage particulier, tandis que le curé de Saint-Pierre nous assuré de son plaisir.

 

Désormais, le Chœur peut partir en vacances, assuré de la satisfaction de sa chef et prêt à de nouveaux projets.